Commissaire aux comptes

Le Commissaire aux Comptes (CAC) est un professionnel indépendant dont la mission principale est de certifier la régularité et la sincérité des comptes des entreprises et des organisations. Il joue un rôle clé dans la transparence financière et la confiance des investisseurs et des parties prenantes.

Quel est le rôle d’un commissaire aux comptes ? 


Le commissaire aux comptes (CAC) vérifie que les comptes d’une entité sont conformes à la législation financière en vigueur.

Il s’agit d’un métier de comptabilité réglementé. Ce professionnel est, en effet, inscrit au tableau de l’Ordre des commissaires aux comptes. Véritable auditeur légal, il exerce, en effet, pour le titre de l’État de façon indépendante. 

Il se doit de respecter, de façon stricte, le Code de déontologie, afin de garantir l’indépendance et l’intégrité de ses audits financiers. 

En général, il travaille avec d’autres CAC, dans un cabinet d’audit ou d’expertise comptable. Son salaire en début de carrière est d’environ 2 500 euros mensuels. 

La nomination d’un CAC s’effectue via un vote des actionnaires, lors de l’assemblé générale de l’entreprise. Son mandat a une durée de 6 ans.

Quelles sont ses missions ? 


Un commissaire aux comptes a en charge le contrôle du bilan d’une société. Cela couvre le compte de résultat et les annexes d’une société. 

Il vérifie ainsi la justesse de la comptabilité d’une entreprise en analysant l’ensemble des justificatifs.  

À la fin de l’audit, il rédige un rapport détaillé dont les conclusions sont ensuite présentées lors de l’assemblée générale de l’entreprise.  

S’il relève des irrégularités ou anomalies, son devoir est d’en informer les dirigeants, les actionnaires. Il en fait également part au procureur de la République, si cela est utile. 

Il a aussi un rôle de conseil pour garantir la transparence et la stabilité financière d’une entreprise.

  •  Audit légal des comptes
    • Vérifier la conformité des états financiers aux normes comptables et légales.
    • Assurer la fiabilité et la sincérité des comptes annuels.
  • Certification des comptes
    • Attester que les comptes reflètent fidèlement la situation financière de l’entreprise.
    • Détecter d’éventuelles anomalies, fraudes ou erreurs.
  • Prévention des risques financiers et juridiques
    • Identifier les risques de faillite, de fraude ou de mauvaise gestion.
    • Alerter l’entreprise en cas de difficultés financières.
  •  Respect des obligations légales et réglementaires
    • S’assurer que l’entreprise respecte les normes comptables (IFRS, normes françaises).
    • Vérifier les déclarations fiscales et sociales.
  • Conseil et recommandations
    • Accompagner les entreprises dans l’amélioration de leur gestion financière.
    • Orienter sur les bonnes pratiques en matière de gouvernance.

Quelles sont les qualités d’un commissaire aux comptes ? 


Pour exercer sa profession, un CAC doit être attiré par l’analyse et les chiffres. S’il est méthodique et rigoureux, il doit également posséder : 

  • De bonnes capacités relationnelles ; 
  • Un esprit analytique ; 
  • Une capacité à mesurer rapidement les risques et à établir des seuils de contrôle.

Quelles sont les compétences à avoir pour devenir commissaire aux comptes ? 


Un commissaire aux comptes est avant tout un fin mathématicien et stratège des chiffres. Il doit également posséder d’autres capacités en : 

  • Maîtrise de logiciels de comptabilité ; 
  • Analyse financière ; 
  • Stratégie comptable ; 
  • Montage juridique.

Pour exercer ce métier, vous avez besoin de connaître des notions poussées en banque, finance et gestion. En voici une liste non exhaustive des cours que vous pouvez suivre : 

  • Techniques d’audit ; 
  • Comptabilité générale et analytique ;
  • Normes comptables internationales ;
  • Réglementation fiscale nationale et internationale ;
  • Optimisation fiscale ;
  • Déclarations fiscales et obligations réglementaires ;
  • Finance d’entreprise.
  • Compétences techniques
    • Excellente maîtrise des normes comptables (IFRS, normes françaises).
    • Connaissance approfondie du droit des affaires et fiscalité.
    • Maîtrise des outils d’audit et logiciels comptables (SAP, Sage, Excel avancé).
  • Compétences humaines
    • Rigueur et sens de l’éthique.
    • Esprit analytique et capacité à détecter les anomalies.
    • Diplomatie et aisance relationnelle pour communiquer avec les dirigeants et actionnaires.

Comment devenir commissaire aux comptes ? 


Il existe différentes poursuites d’études pour devenir commissaire aux comptes. Mais dans tous les cas, vous devez avoir une formation de niveau bac + 8 au total. 

Le DSCG

Vous avez un diplôme de niveau bac + 3 en comptabilité comme le DCG ? Vous pouvez vous inscrire au DSCG à l’ICS Bégué. Il s’agit du diplôme supérieur de comptabilité et de gestion. En réalisant ensuite un stage de 3 ans auprès du CAC habilité, vous pouvez demander votre inscription à la liste des commissaires aux comptes. 

À savoir

Pour information, le DCG, lui, est accessible juste après le bac ou après un BTS comptabilité et gestion. Dans ce cas, vous entrez directement en seconde année, car vous êtes dispensé de passer certaines épreuves du DCG : 

  • Introduction à la comptabilité ; 
  • Comptabilité approfondie ; 
  • Introduction au droit ; 
  • Économie contemporaine.

Le DEC

L’autre option consiste à : 

  1. Passer le diplôme d’expertise comptable (DEC) après le DSCG ; 
  2. Réaliser un stage de 2 ans auprès d’un commissaire aux comptes expérimenté. 

Vous pouvez ensuite demander à être inscrit sur la liste des CAC.

À savoir : Le DEC est aussi obligatoire pour vous impliquer dans la création d’un cabinet d’expert-comptable.

Après un master sans la spécialité comptabilité

Enfin, si vous avez une certification hors comptabilité de type master, vous pouvez passer le certificat préparatoire aux fonctions de commissaire aux comptes (CPFCAC). Vous effectuez ensuite un stage de trois ans et vous validez alors le certificat d’aptitude aux fonctions de commissaire aux comptes (CAFCAC).

Quelles sont les perspectives d’évolution ?


Devenir commissaire aux comptes vous permet d’explorer le monde de la comptabilité à un haut niveau. Avec un tel parcours, vous pourrez ensuite : 

  • Monter votre propre cabinet d’expert-comptable ;
  • Travailler dans un cabinet d’audit ; 
  • Devenir directeur financier.
  • Évolutions possibles
    • Associé dans un cabinet d’audit.
    • Consultant en audit et gestion des risques.
    • Directeur financier ou contrôleur de gestion.
  • Tendances du métier
    • Digitalisation et automatisation des audits.
    • Renforcement des normes de transparence financière.
    • Développement des missions d’audit extra-financier (RSE, cybersécurité).

Quel est le salaire d’un Commissaire aux Comptes ?


  • Débutant : 40 000 – 50 000 €/an
  • Expérimenté : 70 000 – 100 000 €/an
  • Associé en cabinet : +150 000 €/an

Où travaille un Commissaire aux Comptes ?


  • Cabinets d’audit et d’expertise comptable : Big Four (PwC, KPMG, EY, Deloitte), Mazars, BDO…
  • Entreprises : CAC interne dans les grands groupes.
  • Secteur public : Audit des comptes publics, collectivités, associations.
  • Conditions de travail
    • Déplacements fréquents en entreprise.
    • Périodes intenses en clôture de bilan.
    • Forte responsabilité et travail sous pression.

Le métier de Commissaire aux Comptes est une profession de prestige, garantissant la transparence financière et la conformité des entreprises. Exigeant mais offrant de belles opportunités d’évolution, ce métier attire les passionnés d’audit, de finance et de droit comptable.

DEC : Diplôme d’Expertise Comptable

DEC : DIPLÔME D’EXPERTISE COMPTABLE

Niveau d'admission

Bac +5

Durée de la formation

36 mois

Diplômé préparé

Diplôme d’État (niveau doctorat - Bac +8)

Tout savoir sur le DEC :

Le DEC est l’ultime diplôme de la filière expertise comptable. Il se prépare en 3 ans, après l’obtention du DCG puis du DSCG. L’obtention de ce diplôme est nécessaire à l’exercice de la profession d’expert-comptable.  

Il correspond à un titre d’ingénieur ou à un diplôme de troisième cycle universitaire (niveau doctorat). 

Pour s’inscrire en tant qu’expert-comptable stagiaire, il faut être titulaire du DSCG ou à défaut avoir obtenu une note égale ou supérieure à 10/20 à au moins quatre des sept épreuves obligatoires du DSCG (sans note éliminatoire). Les autres épreuves doivent être validées dans un délai de deux ans pour débuter la troisième année de stage. 

À noter : certaines passerelles avec l’université et les écoles de commerce permettent de rejoindre la filière classique. Le Master CCA (Comptabilité Contrôle et Audit) constitue notamment une voie d’accès parallèle au DSCG puis au DEC. 

En quoi consiste l’examen du DEC ?

Pour s’inscrire aux épreuves du DEC, il faut avoir réalisé un stage de 3 ans en cabinet d’expertise comptable. 

L’examen du DEC est constitué de trois épreuves : 

  • Épreuve écrite : cas pratique à résoudre sur l’ensemble de la révision des comptes (législation, normalisation et techniques). 
  • Entretien avec un jury : questions et contrôle sur le stage effectué dans un cabinet d’expertise comptable 
  • Soutenance d’un mémoire : il s’agit de l’épreuve majeure du DEC. Il convient de s’y préparer dès la première année du stage par une réflexion sur le thème qui sera traité. À partir d’un sujet théorique, historique ou pratique, se rattachant à la vie professionnelle de l’expert-comptable, l’étudiant doit définir une problématique, énoncer des propositions et mettre cette problématique en perspective dans le temps et l’espace 

2 sessions sont organisées chaque année : au mois de novembre et au mois de mai. 

>> S’inscrire aux épreuves du DEC

L’accompagnement de l’ICS Bégué, vers la réussite aux épreuves du DEC

L’ICS Bégué propose un accompagnement personnalisé afin de permettre aux candidats de se préparer aux épreuves du DEC.  

Les séminaires mensuels de l’ICS Bégué ont pour objet : 

  • D’encadrer les étudiants dans le choix et la rédaction de leur mémoire 
  • De suivre leur stage et d’en vérifier la qualité et la validation 
  • De préparer efficacement l’épreuve écrite finale du DEC portant sur la révision légale et contractuelle des comptes 

 

Taux de satisfaction 2019 en DEC : 89% 

Pour quels métiers ?

Les titulaires du DEC peuvent ensuite exercer la professiond’expert-comptable ou de commissaire aux comptes. Ils ont également la possibilité de travailler au sein des directions comptables et financières des entreprises. 

L'expert-comptable est le partenaire du chef d'entreprise : c'est un véritable conseiller et il joue un rôle stratégique clé.

Le responsable administratif et financier organise et gère les missions liées à la comptabilité et aux finances de l’entreprise, mais aussi à son administration.

Le Directeur Comptable est responsable de la tenue courante des comptes en comptabilité générale et (parfois) en comptabilité analytique de l’entreprise.

Admissions

La procédure d’inscription à l’ICS Bégué se déroule en 3 étapes :

Candidature

Les candidats sont invités à compléter leur dossier de candidature en ligne.

Épreuve écrite

Culture Générale / Anglais / Comptabilité ou Mathématiques (suivant la filière d'origine) - sous forme de QCM et d'applications

Épreuve orale 

Entretien individuel de motivation

DSCG : Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion

DSCG : DIPLÔME SUPÉRIEUR DE COMPTABILITÉ ET DE GESTION

Niveau d'admission

Bac +3 | Admissions parallèles possibles

Durée de la formation

12 à 24 mois

Alternance possible

2 jours à l’école,
3 jours en entreprise

Diplômé préparé

Diplôme d’État (grade Master)

Accessibilité aux personnes handicapées : nos locaux sont accessibles aux personnes à mobilité réduite, et les parcours de formation sont adaptés si nécessaire.

Rentrée : septembre 2025

Tout savoir sur le DSCG :

Le diplôme « DSCG (Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion) », est un diplôme d’État de grade master  (Eu), RNCP RNCP35044, nsf 314, enregistré au RNCP et délivré par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. Date d’échéance de l’enregistrement : 31/08/2025

Le DSCG se prépare en 2 ans, après l’obtention du Diplôme de Comptabilité et de Gestion DCG (Bac +3 de Grade Licence). Il constitue la deuxième étape vers les métiers de l’Expertise Comptable et la préparation au DEC pour devenir expert-comptable. 

Le DSCG s’obtient à condition d’avoir au minimum 10 de moyenne générale à 7 épreuves, que le candidat peut présenter dans l’ordre qu’il veut.


Les UE (unités d’enseignement) sont validées sans limitation de durée et pour chacune d’elles, les épreuves sont organisées au niveau national, une fois par an.

Pour en savoir plus au sujet des diplômes comptables : ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche 

Le cycle d’études du Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion est celui de la synthèse et de la mise en perspective des acquis professionnels. C’est un diplôme qui possède une forte valeur ajoutée auprès des professionnels de l’Audit, de la Gestion et de la Finance.  

Outre la préparation au DEC, il ouvre de nombreuses portes vers des carrières d’excellence en entreprise en tant que contrôleur de gestionanalyste financierauditeur interne ou encore responsable administratif et financier. 

C’est la formation idéale pour tous ceux qui souhaitent s’orienter vers les métiers du chiffre et notamment de l’Expertise Comptable 

Le DSCG est un diplôme d’État de Grade Master. Il s’agit d’un titre professionnel permettant d’intégrer rapidement la vie active dans le domaine de l’expertise comptable, et plus globalement aux postes de cadre des métiers de la Gestion Finance et de la Comptabilité, grâce à des programmes construits en cohérence avec les exigences des entreprises et des cabinets. 

Le cycle d’étude offre une synthèse une mise en perspective des acquis professionnels tout en donnant l’opportunité d’effectuer des stages à haute responsabilité. Cela, afin de se préparer avec soin aux métiers de la comptabilité, de la finance, de l’audit, de la conformité, de la fiscalité, etc. 

Le Parcours
Expertise comptable

Le DSCG en chiffres *

80%

Taux de réussite

94%

Taux de satisfaction

98%

Taux d'insertion dans le métier

18

Étudiants en moy. par section

Frais de formation
pris en charge par les OPCO

(coûts France Compétences)

Nombre d'heures de formation
De 456 à 650 h / an

* Chiffres mis à jour le 1er juillet 2024

EXPERTISE COMPTABLE

ICS Bégué : l'école du DSCG

Le parcours individualisé de l’ICS Bégué : l’accompagnement vers la réussite au DSCG 

À l’ICS Bégué, les UE du DSCG sont préparées selon le grade et les résultats de chaque étudiant. 

Grâce à un parcours pédagogique individualisé, l’étudiant peut suivre les UE à son rythme, approfondir des matières en suivant une préparation adaptée (partiels, DST sur mesure…). 

En cas de souci sur une UE, l’étudiant peut poursuivre sa préparation au DSCG sans prendre de retard. 

Taux d’insertion : 98% dans les six mois après l’obtention du DSCG 

Quel est le programme du DSCG ? Combien de temps dure la formation ?

L’étudiant prépare sur 2 ans son diplôme de DSCG à travers un parcours à la fois professionnel (stage, simulation de gestion d’entreprise, compte rendu de projet, mémoire…) et diplômant. 

Le DSCG s’obtient à condition d’avoir au minimum 10 de moyenne générale à 7 épreuves, que le candidat peut présenter dans l’ordre qu’il veut. Les UE (unités d’enseignement) sont validées sans limitation de durée et pour chacune d’elles, les épreuves sont organisées au niveau national, une fois par an.

Parcours académique - année 4 et 5

UNITÉS D’ENSEIGNEMENT 

 

UE 1 : Gestion juridique, fiscale et sociale 

UE 2 : Finance 

UE 3 : Management et contrôle de gestion 

UE 4 : Comptabilité et audit 

UE 5 : Management des systèmes d’information 

UE 6 : Anglais des affaires (Full english) 

UE 7 : Mémoire (relations professionnelles) : suivi personnalisé proposé par des doctorants tout au long de l’année afin de se préparer à la rédaction du mémoire et à l’oral de fin d’année (jury de 3 à 4 personnes) 

COMPLÉMENTS PÉDAGOGIQUES 

 

  • Atelier d’aide à la recherche d’entreprise (stage ou contrat de professionnalisation) 
  • Cycle de conférences 
  • Rencontres avec des professionnels et anciens étudiants diplômés 

 

MODALITÉS D’EXAMEN 

 

Les modalités de l’examen d’État du DSCG (programmes, évaluations, dispenses, équivalences, calendriers…) sont disponibles sur le site du Service Interacadémique des Examens et Concours (SIEC) : siec.education.fr 

Pour quels métiers ?

L'expert-comptable est le partenaire du chef d'entreprise : c'est un véritable conseiller et il joue un rôle stratégique clé.

Le responsable administratif et financier organise et gère les missions liées à la comptabilité et aux finances de l’entreprise, mais aussi à son administration.

Le Directeur Comptable est responsable de la tenue courante des comptes en comptabilité générale et (parfois) en comptabilité analytique de l’entreprise.

Recruté avant l’obtention de mon DSCG, j’ai choisi Grant Thornton pour sa renommée internationale et son rayon d’intervention auprès des entreprises, pour préparer mon DEC. En tant qu’auditeur financier junior, j’opère aujourd’hui sur divers secteurs tels que la Hi-Tech, le Software, le luxe, le e-commerce, les holdings. Cette structure me permet d’apprendre et d’évoluer dans un environnement de travail privilégié puisque je suis encadré par des managers exigeants mais qui me laissent une autonomie importante dans mon activité.

Quelle poursuite d’études après le DSCG ?

Diplôme d’État de Grade Master, le DSCG se caractérise par l’acquisition du savoir spécifique aux fonctions de haut Grade. L’obtention du DSCG est obligatoire avant le passage au stage d’Expertise Comptable. 

Après un DSCG, l’étudiant intègre directement une entreprise ou un cabinet d’audit, comptable, de conseil en tant que cadre des métiers de l’Audit, la Gestion, la Comptabilité ou encore de l’Expertise Financière. 

Le diplômé du DSCG est amené à évoluer vers les postes à haute responsabilité et d’encadrement des services Financiers, Comptables et Administratifs de l’entreprise et vers les postes de collaborateurs en cabinet.

L’alternance est-elle possible en DSCG ?

L’étudiant a la possibilité de poursuivre son cursus en alternance avec un rythme défini en concertation avec les cabinets du secteur. 

Rythme de l’alternance

3 jours en entreprise / 2 jours à l’école
En savoir plus >

Admissions

La procédure d’inscription à l’ICS Bégué se déroule en 3 étapes :

Candidature

Les candidats sont invités à compléter leur dossier de candidature en ligne.

Épreuve écrite

Culture Générale / Anglais / Comptabilité ou Mathématiques (suivant la filière d'origine) - sous forme de QCM et d'applications

Épreuve orale 

Entretien individuel de motivation

Les admissions parallèles en DSCG sont possibles pour les candidats titulaires du DCG, d’un Master CCA, d’un diplôme donnant des équivalences ou d’un diplôme de Grade Master. 

Vous pouvez consulter la liste des diplômes donnant des droits et dispenses d’épreuves sur le Bulletin Officiel de l’Éducation Nationale. 

 

Quels diplômes pour intégrer le DSCG ? 

Peut postuler au Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion tout candidat ayant validé un DCG ou titulaire d’un Master obtenu dans l’Espace Européen ou d’un diplôme de grade Master. Les candidats ayant 1 ou 2 UE du DCG à repasser, peuvent également postuler. 

Toute candidature individuelle dans le cadre d’une reconversion professionnelle. 

Certains cursus donnent droit à des dispenses ou permettent l’accès au cycle. 

L’admission est nationale au sein de l’école, et le concours d’entrée peut être passé indifféremment sur les deux campus de Paris et Lyon. 

Le cursus s’adresse aussi aux salariés dans le cadre d’un CPF de transition professionnelle. 

La loi du 22 décembre 2006 relative aux diplômes de comptabilité et de gestion définit les règles d’intégration au cycle. 

DCG : Diplôme de Comptabilité et de Gestion

École Expertise comptable | Grade licence

EXPERTISE COMPTABLE en alternance

Accessible via
Parcoursup

Handicap moteur
Niveau d'admission

Bac | Admissions parallèles possibles

Durée de la formation

12 à 36 mois

Alternance possible

2 jours à l’école,
3 jours en entreprise

Diplôme préparé

Diplôme d’État (grade Licence)

Le DCG à l'ICS Bégué Paris & Lyon

Le diplôme « DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion) », est un diplôme d’État de grade licence  (Eu), RNCP RNCP35526, nsf 314, enregistré au RNCP et délivré par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. Date d’échéance de l’enregistrement : 31/08/2025

Le DCG délivre les connaissances de base en comptabilité, gestion et finance d’entreprise. Il permet d’intégrer rapidement la sphère professionnelle mais peut constituer aussi la première étape des études de Comptabilité et Gestion vers le DSCG et vers le DEC 

Pour en savoir plus au sujet des diplômes comptables : ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche 

Ce Diplôme d’État permet de valider 180 crédits ECTS (European Credits Transfer System). Le titre est également inscrit au RNCP avec une certification de niveau 6. Le programme se compose d’Unités d’Enseignements (UE) à valider et se prépare en 1, 2 ou 3 ans suivant le niveau d’intégration. 

Le DCG s’obtient avec un minimum de 10 de moyenne générale à 13 épreuves que le candidat présente dans l’ordre qu’il veut (4 ou 5 épreuves chaque année). Les UE (unités d’enseignement) sont validées sans limitation de durée et pour chacune d’elles, les épreuves sont organisées au niveau national, une fois par an.

Les UE (unités d’enseignement) sont validées sans limitation de durée et pour chacune d’elles, les épreuves sont organisées au niveau national, une fois par an.

ICS Bégué : l'école du DCG

L’ICS Bégué est aujourd’hui la seule école proposant des programmes adaptés au rythme de chaque étudiant, afin de l’accompagner vers la réussite de son DCG. 

Le parcours individualisé de l’ICS Bégué : l’accompagnement vers la réussite au DCG 

Au sein de l’école, les UE du DCG sont préparées selon le niveau et les résultats de chaque étudiant. Grâce à un parcours pédagogique individualisé, l’étudiant peut suivre les UE à son rythme, approfondir des matières en suivant une préparation adaptée (cours, partiels, DST, relevés de notes, oraux…). 

Taux de satisfaction 2024 en DCG : 95% 

Quel est le programme du DCG ?

Le DCG, comprend 13 matières (14 avec l’option) indépendantes appelées Unités d’Enseignement (UE) réparties sur 3 ans de formation et découpées en 4 grandes catégories : le Droit, l’Économie, le Management et la Gestion-Comptabilité. 

Le DCG s’obtient avec un minimum de 10 de moyenne générale à 13 épreuves que le candidat présente dans l’ordre qu’il veut (4 ou 5 épreuves chaque année). Les UE (unités d’enseignement) sont validées sans limitation de durée et pour chacune d’elles, les épreuves sont organisées au niveau national, une fois par an

Important : les UE du DCG peuvent être dispensées indifféremment en 2e et 3e année suivant les notes, résultats et/ou dispenses de chaque étudiant. 

Année 1
  • Fondamentaux du droit UE-1
  • Économie contemporaine UE-5
  • Système d’information et de gestion UE-8
  • Comptabilité UE-9
Année 2 / Année 3
  • Droit des sociétés UE-2
  • Droit social UE-3
  • Droit fiscal UE-4
  • Finance d'entreprise UE-6
  • Management UE-7
  • Comptabilité approfondie UE-10
  • Contrôle de gestion UE-11
  • Anglais des affaires UE-12
  • Communication professionnelle UE-13

COMPLÉMENTS PÉDAGOGIQUES 

 

  • Certification Voltaire 
  • Quiz numériques Dunod 
  • Atelier d’aide à la recherche d’entreprise (stage ou alternance) 
  • Cycle de conférences 
  • Rencontres avec des professionnels et anciens étudiants diplômés 
  • Voyages d’étude 
  • Salons professionnels 

 

MODALITÉS D’EXAMEN 

Les modalités de l’examen d’État du DCG (programmes, évaluations, dispenses, équivalences, calendriers…) sont disponibles sur le site du Service Interacadémique des Examens et Concours (SIEC) : www.siec.education.fr 

Quelle est la durée du cycle DCG  ?

L’étudiant prépare sur 3 ans son diplôme de comptabilité à travers un parcours à la fois professionnel (stage, simulation de gestion d’entreprise, compte rendu de projet, mémoire…) et diplômant. 

Les admissions parallèles sont possibles.

Un diplôme pour quels métiers ?

Titre de Grade Licence, le DCG ouvre l’accès à l’ensemble des métiers de la comptabilité et de la gestion. Que ce soit en cursus initial ou par la voie de l’alternance, il offre la possibilité de débuter d’intégrer directement la vie active une fois le diplôme en poche.

Partenariat EY ICS Bégué
Nouveau partenariat

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Parcoursup
Le DCG sur parcoursup →

En bref

LE EXPERTISE COMPTABLE

Suite à l’obtention de mon Bac S, j’ai décidé de rejoindre la filière de l'expertise comptable. Passionné par le conseil, la finance d’entreprise et la fiscalité, le DCG m’a permis de cerner au mieux les enjeux propres à notre filière : être le partenaire privilégié des entreprises afin de les soutenir dans leur quête de développement.

J'exerce aujourd’hui dans un cabinet d'expertise comptable et mes missions m’amènent à organiser le suivi comptable et analytique de mon portefeuille de clientèle.

Quelle poursuite d’études après le DCG ?

Les diplômés sont recrutés par les entreprises comme par les cabinets et évoluent autour de fonctions en management dans les secteurs de la Finance, de la Gestion et de la Comptabilité.  

Après le DCG, l’ICS Bégué offre la possibilité de préparer le DSCG, mais donne aussi accès à tous ses titres spécialisés à Bac +5. 

L’alternance est-elle possible en DCG ?

L’étudiant a la possibilité de poursuivre son cursus en alternance avec un rythme défini en concertation avec les entreprises et cabinets du secteur. 

Les étudiants du DCG en alternance construisent leur CV et justifient déjà d’une expérience professionnelle à peine leur diplôme en poche. À la clé, une insertion professionnelle accélérée et réussie. 

Rythme de l’alternance

3 jours en entreprise / 2 jours à l’école
En savoir plus >

Comment postuler au DCG ?

Quels campus ?

L’admission est possible au sein des écoles de Paris et Lyon.

Quels bacs / Quelles spécialisations choisir ?

L’admission en DCG est possible après un Bac technologique (STMG), un Bac général, un titre inscrit au RNCP au niveau 4, 5, 6 ou 7 du cadre national des certifications professionnelles.

La loi du 22 décembre 2006 relative aux diplômes de comptabilité et de gestion définit les règles d’intégration au cycle. 

Comment candidater sur Parcoursup ?

Étape 1 : Je m’inscris sur Parcoursup pour créer mon dossier candidat

Étape 2 : Je formule mes vœux dès le 17 janvier 2024

Étape 3 : Je reçois une réponse de l’ICS Bégué dès avril 2024

Étape 4 : J’officialise mon inscription en recevant la validation d’affectation à partir du 30 mai 2024

Choisissez l’ICS Bégué dans vos vœux Parcoursup dès janvier 2024, l’école recevra et étudiera toutes les candidatures dès mars-avril 2024.

Un Concours ICS Bégué permettra à l’école d’officialiser l’inscription des futurs étudiants dans l’école.

Comment candidater hors Parcoursup ?

Étape 1 : Je créé mon dossier candidat directement sur le site internet ICS-Bégué

Étape 2 : Je participe au concours de l’école

Étape 3 : Je reçois une réponse de l’ICS Bégué à partir d’avril 2024

Étape 4 : J’officialise mon inscription

La procédure d’inscription à l’ICS Bégué se déroule en 3 étapes :

Candidature Parcoursup

Les candidats sont invités à compléter leur dossier de candidature sur Parcoursup

Examen d"entrée

Epreuves écrites (Culture Générale / Anglais / Comptabilité ou Mathématiques (suivant la filière d'origine) - sous forme de QCM et d'applications

Inscription

Officialisation de l'inscription

Quelles possibilités en admissions parallèles ?

Le DCG est accessible en admission parallèle après un diplôme de 1er cycle (BTS CG, DUT GEA, Licence 1, etc).

En savoir plus sur les modalités d’inscriptionSIEC – Maison des examens

Zoom sur: l'admission en DCG après un BTS CG

Après l’obtention d’un BTS CG, l’ICS Bégué offre la possibilité aux étudiants de poursuivre en DCG.
L’intégration s’effectue directement en 2e année (sur 3).

L’obtention du BTS comptabilité-Gestion offre la dispense de 6 épreuves (sur 13):
UE1 : Fondamentaux du droit ;
UE5 : Économie contemporaine ;
UE8 : Systèmes d’information de gestion ;
UE9 : Comptabilité ;
UE12 : Anglais des affaires ;
UE 13 : Communication professionnelle.

A noter que le DCG peut être préparé, comme le BTS, en alternance.

A savoir :

Il est possible de renoncer à une ou des dispenses en année 2 du DCG.
Il peut être intéressant de tenter de passer une épreuve malgré la dispense afin de capitaliser des points sur une matière forte, en UE9 Comptabilité par exemple. D’autant que le risque est faible : en cas de note inférieure à 10 en 2eme année, vous retrouvez votre dispense (une ou plusieurs) l’année suivante… 

DCG et formation professionnelle ? 

L’école étudie toute candidature individuelle dans le cadre d’une reconversion professionnelle. 

L’entrée en formation s’adresse aussi aux salariés bénéficiant d’un CPF de transition professionnelle. 

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Consultant

Quel est le rôle du consultant, quelles sont ses missions ?

Le consultant est un expert de son domaine d’activité qui va poser un diagnostique, rechercher et proposer des solutions pour améliorer le fonctionnement de l’entreprise.

Le consultant peut se spécialiser dans des domaines comme les Ressources Humaines, la gestion financière, les systèmes d’information, l’organisation, la relation client ou encore le management.

Rôle du consultant :

  • Observer, identifier et analyser un mode opératoire
  • Rechercher et proposer des solutions
  • Accompagner la mise en œuvre des recommandations



Quelles sont les compétences à acquérir pour devenir consultant ?

  • Rigueur et créativité
  • Organisation et maintien d’un réseau d’informations
  • Esprit d’analyse et de synthèse
  • Maîtrise de l’anglais
  • Qualités d’argumentation écrite et orale

Comment devenir consultant ?

Le métier de consultant financier peut s’exercer au niveau Bac+5 après le Bachelor Business & Finance suivi du MBA Expert en Audit & Contrôle de Gestion de l’ICS Bégué. 

Comptable

En tant que comptable, vous êtes le gardien des finances de l’entreprise. Votre rôle consiste à compiler, analyser et interpréter les données financières, assurant ainsi la santé économique de l’organisation. Grâce à votre expertise comptable, vous offrez une vision claire et stratégique des chiffres, soutenant les décisions cruciales pour la croissance.

Découvrez la fiche métier réalisée par l’ICS Begue sur le métier de comptable !

Qu’est ce qu’un Comptable ?

Le métier de comptable englobe la gestion précise et méthodique des transactions financières d’une entreprise. En tant que professionnel de la comptabilité, le comptable, classe et analyse les opérations comptables, garantissant la conformité aux normes fiscales et légales en vigueur. 

Doté d’une expertise en finance et en logiciels comptables, il produit des états financiers clairs et pertinents, offrant ainsi une base solide pour la prise de décisions éclairées. Le comptable joue un rôle essentiel dans le suivi des flux monétaires, la préparation des déclarations fiscales et la gestion optimale des ressources financières de l’entreprise.

Au quotidien, ses missions varient en fonction du type et de la taille de l’entreprise dans laquelle il exerce son activité.

Rôle du comptable :

  • Saisie des écritures comptables
  • Réceptionne et vérifie les informations écrites (bordereaux, factures, bons de commandes) et procède à leur régularisation comptable, le cas échéant
  • Enregistre les informations et les données commerciales et financières (manuellement par informatique)
  • Assure l’interface avec les interlocuteurs pour élaborer les documents comptables
  • S’informe et suit l’évolution de la réglementation comptable et fiscale
  • Établit les états comptables : bilan, compte d’exploitation, balances
  • Traitement de la paie (et activités liées à la gestion du personnel)
  • Compte rendu auprès de l’expert-comptable
  • Gestion et suivi des stocks
  • Travaux de clôture d’exercice comptable



Quelles sont les missions du comptable ?

Le métier de comptable revêt une importance cruciale au sein des entreprises, impliquant diverses missions dans le domaine de la comptabilité. Ses responsabilités sont diverses.

  • Tenir la comptabilité générale : le comptable enregistre et classe toutes les opérations financières de l’entreprise, garantissant la précision des informations comptables.
  • Établir les déclarations fiscales : il prépare et dépose les déclarations fiscales, veillant à la conformité aux normes légales et optimisant la situation fiscale de l’entreprise.
  • Réaliser les opérations de clôture : le comptable participe à la clôture des comptes annuels, générant des états financiers reflétant la santé financière de l’entreprise.
  • Gérer la trésorerie : il surveille les mouvements de trésorerie, prévoit les besoins financiers et propose des solutions pour optimiser la gestion des liquidités.
  • Analyser les coûts : le comptable analyse les coûts de l’entreprise, identifiant des pistes d’optimisation et fournissant des informations précieuses à la direction.
  • Participer aux audits : il collabore avec les auditeurs internes ou externes, assurant une transparence et une conformité totale lors des audits financiers.
  • Élaborer des budgets : le comptable contribue à l’élaboration des budgets, fournissant des données financières fiables pour soutenir la planification stratégique.
  • Assurer le suivi des règlements : il contrôle les encaissements et les paiements, garantissant le respect des délais et des conditions de paiement.
  • Conseiller en matière comptable : le comptable offre des conseils avisés à la direction, anticipant les évolutions financières et proposant des stratégies comptables adaptées.
  • Veiller à la conformité : il s’assure de la conformité de l’entreprise aux normes comptables en vigueur, minimisant les risques légaux et financiers.

De ce fait, le métier de comptable est essentiel pour la stabilité et la prospérité financière des entreprises, impliquant une expertise variée dans la gestion comptable et fiscale.

 Quelle formation pour devenir comptable ? 

L’obtention du baccalauréat suivie de trois années d’études est requise pour exercer en tant que comptable. 

Si vous cherchez une formation à suivre, le BTS comptabilité et gestion en alternance, le Bachelor gestion finance audit, le DCG proposés par l’ICS Begue sont des options à considérer. En réorientation, le MBA audit et contrôle de gestion et le MBA banque finance peuvent aussi mener à ces carrières.

Quelles sont les autres appellations du métier de comptable ?

En fonction de la taille et du type d’entreprise où il exerce son métier, le poste de comptable peut recouvrir un périmètre différent et une dénomination particulière: Gestionnaire comptable, Responsable de gestion comptable, Comptable analytique, Comptable fournisseurs, Comptable général, Comptable clients, Comptable unique, Collaborateur comptable, Comptable trésorerie…

Dans quels types d’entreprises peut-il exercer son métier ?

Le métier de comptable peut s’exercer dans tout type d’entreprise: grande ou petite entreprise, cabinet expert-comptable, association, établissement public ou privé, organisation humanitaire…

Quel est le salaire moyen d’un comptable ?

Le salaire moyen d’un comptable en France varie entre 30 000 et 50 000 euros par an, selon l’expérience et la localisation. 

Cela se traduit par une moyenne mensuelle de 2 500 à 4 200 euros. Ces chiffres peuvent fluctuer en fonction du secteur d’activité et de la taille de l’entreprise.


Quelles qualités pour devenir comptable ? 

Devenir comptable requiert un ensemble de qualités clés pour exceller dans ce métier. 

  • Connaissances comptables 
  • Rigueur 
  • Organisation
  • Patience 

Tout d’abord, une maîtrise approfondie des normes comptables et fiscales est essentielle. La rigueur et l’organisation dans le traitement des données financières ainsi que la capacité à travailler avec des logiciels spécialisés sont des compétences fondamentales. 

La précision, la fiabilité et le sens de l’analyse sont des atouts majeurs pour assurer une comptabilité irréprochable. De bonnes aptitudes relationnelles facilitent également la communication avec les clients et les partenaires. 

En outre, la formation continue et l’actualisation des connaissances sont cruciales pour suivre l’évolution du domaine comptable.

Métier comptable : Quelles perspectives d’évolution ?

Le métier de comptable offre des perspectives d’évolution diversifiées. Après avoir accumulé de l’expérience, vous pourriez accéder à une direction comptable ou au poste de responsable financier, voire de directeur administratif et financier

L’obtention de certifications telles que le DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion), le DSCG ou le DEC (Diplôme d’Expertise Comptable) peut renforcer votre expertise et ouvrir des portes vers des opportunités de gestion. Devenir consultant en comptabilité ou auditeur financier sont également des voies envisageables. Restez informé des évolutions fiscales et technologiques pour rester compétitif dans ce secteur en constante évolution.

Code ROME des métiers de comptabilité: M1203

Trésorier


Quel est le rôle du trésorier, quelles sont ses missions ?

Le trésorier exerce une fonction proche d’un métier bancaire en entreprise. Il est en charge de la bonne gestion des liquidités de l’entreprise. Il va ainsi s’assurer de sa rentabilité financière par le contrôle actif des entrées et sorties des flux financiers. Il établit également les prévisions et le reporting.

Rôle du trésorier :

  • S’assurer de la permanence des ressources disponibles
  • Valorise les flux financiers à court terme (trésorerie), à moyen et à long terme (plans de financement), au moindre risque pour l’entreprise
  • Recherche de partenaires et de modes de financement pour l’exploitation et les investissements
  • Analyse toute forme de risques positifs ou négatifs, en évalue les conséquences, et met en œuvre les couvertures de risques appropriées
  • Optimise la rentabilité des fonds



Quelles sont les compétences à acquérir pour devenir trésorier ?

  • Rigueur et créativité
  • Organisation et maintien d’un réseau d’informations
  • Aisance relationnelle
  • Maîtrise du fonctionnement des opérations bancaires
  • Maîtrise des outils informatiques
  • Solides bases comptables



Comment devenir trésorier ?

Le métier de trésorier peut s’exercer au niveau Bac+3 après le Bachelor Business & Finance de l’ICS Bégué ou le DCG.

Risk Manager

Le Risk Manager (ou Responsable de la Gestion des Risques) est chargé d’identifier, analyser et anticiper les risques auxquels une entreprise est exposée. Ces risques peuvent être financiers, opérationnels, juridiques, informatiques, environnementaux ou stratégiques.

Son rôle est crucial pour minimiser les pertes, garantir la conformité réglementaire et sécuriser la pérennité de l’entreprise. Il travaille en collaboration avec la direction générale, les départements financiers, juridiques, IT et opérationnels.


Quel est le rôle du Risk Manager ? Quelles sont ses missions ? 


Le Risk Manager a pour rôle d’identifier, d’analyser et d’évaluer les zones et facteurs de risques (opérationnels, commerciaux, industriels, financiers, fiscaux, réputationnels, cyber-attaques…) auxquels l’entreprise est exposée.

Il vérifie que les couvertures opérationnelles, juridiques, assurantielles et financières sont en place. Il s’assure aussi de l’efficacité des procédures internes de contrôle.  

Il est également amené à négocier avec les courtiers et compagnies d’assurance afin de mettre en place les couvertures et garanties adaptées, en fonction du risque et des montants engagés, tout en veillant au coût des primes. 

  • Identification et Évaluation des Risques
    • Analyser les processus internes et les activités pour détecter les vulnérabilités
    • Cartographier les risques financiers, opérationnels, réglementaires et stratégiques
    • Définir des indicateurs de suivi des risques (KRI – Key Risk Indicators)
  • Mise en Place d’une Stratégie de Gestion des Risques
    • Concevoir des plans de prévention et de mitigation des risques
    • Définir des protocoles d’alerte et de gestion de crise
    • Recommander des politiques d’assurance et de couverture des risques
  • Veille Réglementaire et Conformité
    • Assurer le respect des normes et réglementations en vigueur (Bâle III, Solvency II, IFRS, GDPR, ESG, etc.)
    • Mettre en place des programmes de mise en conformité
    • Gérer les relations avec les organismes de régulation et d’audit
  • Communication et Formation
    • Sensibiliser les collaborateurs aux bonnes pratiques de gestion des risques
    • Assurer une veille stratégique et réglementaire
    • Rédiger des rapports et recommandations pour la direction générale

Quelles sont les compétences à acquérir pour devenir Risk Manager ? 


  • Connaissance des outils de modélisation des risques financiers 
  • Maîtrise des audit des processus internes et des systèmes d’information 
  • Droit des assurances 
  • Connaissances financières, juridiques et fiscales 
  • Audit interne
  • Bonne aisance relationnelle 
  • Anglais 
  • Compétences Métier
    • Expertise en gestion des risques et conformité réglementaire
    • Connaissance approfondie des normes et réglementations financières (Bâle III, Solvabilité II, IFRS, MiFID, ESG, RGPD)
    • Maîtrise des méthodes d’audit et d’analyse des risques (cartographie des risques, scoring, stress testing)
  • Outils et Technologies
    • Logiciels de gestion des risques (SAP GRC, OpenPages, MetricStream, RiskWatch)
    • Outils de modélisation et d’analyse de données (Power BI, Tableau, SAS, R, Python, Excel VBA)
    • Bases en cybersécurité et gestion des risques IT
  • Soft Skills
    • Esprit analytique et rigueur
    • Excellente capacité de communication et de persuasion
    • Résistance au stress et gestion des crises
    • Capacité à anticiper et proposer des solutions stratégiques


Comment devenir Risk Manager ? 


Le métier de Risk Manager peut s’exercer au niveau Bac +5 après le Bachelor Business & Finance suivi du MBA Risk & Compliance de l’ICS Bégué ou après le DSCG.

  • Diplômes recommandés
    • Bac +5 en MBA Audit et Contrôle de gestion ou MBA Finance à l’ICS BÉGUÉ + expertise Risk Management et compliance
  •  Expérience
    • Début possible en tant qu’analyste risques, auditeur interne, contrôleur financier ou consultant en gestion des risques
    • Évolution vers des postes de Directeur des Risques, Chief Risk Officer (CRO), Directeur de la Conformité

Quels sont le salaire et les évolutions possibles ?


  •  Salaire moyen
    • Débutant (0-3 ans) : 45 000 – 60 000 € brut/an
    • Confirmé (3-7 ans) : 65 000 – 90 000 € brut/an
    • Expérimenté (7 ans et +) : 100 000 €+ brut/an
  •  Évolutions possibles
    • Directeur des Risques (Chief Risk Officer – CRO)
    • Responsable Conformité et Réglementation
    • Directeur de l’Audit et du Contrôle Interne
    • Consultant Senior en Risk Management

Quels sont les secteurs et les employeurs ?


  • Banques et Assurances (BNP Paribas, Société Générale, AXA, Allianz, Crédit Agricole)
  • Grandes entreprises industrielles et commerciales
  • Cabinets d’audit et de conseil (Deloitte, PwC, EY, KPMG, Mazars, Accenture)
  • Secteur public et institutions financières internationales (Banque de France, BCE, FMI)

Quelles sont les opportunités et les tendances ?


  •  Tendances du métier
    • Renforcement des réglementations et des exigences en matière de conformité (ESG, cybersécurité, RGPD, finance verte)
    • Automatisation et digitalisation de la gestion des risques avec l’IA et la Data Science
    • Montée en puissance des risques climatiques et environnementaux
  •  Compétences recherchées
    • Maîtrise des outils d’analyse et de modélisation des risques
    • Capacité à gérer les risques liés à la cybersécurité et aux nouvelles technologies
    • Connaissance approfondie des évolutions réglementaires et financières

Le Risk Manager est un expert en gestion des risques qui aide les entreprises à anticiper, prévenir et atténuer les menaces pouvant affecter leur stabilité. Son rôle est devenu stratégique dans un environnement en constante évolution.

Profil idéal : Un analyste stratégique, rigoureux et visionnaire, capable d’adapter les entreprises aux nouvelles réalités économiques et réglementaires !

Responsable conformité

Le Responsable Conformité, aussi appelé Compliance Officer, veille à ce que l’entreprise respecte les réglementations en vigueur, les normes internes et les exigences déontologiques spécifiques à son secteur. Son rôle est essentiel pour limiter les risques juridiques, financiers et réputationnels liés à la non-conformité. Il intervient notamment dans les domaines bancaires, financiers, de l’assurance, mais aussi dans l’industrie et le commerce.

Quel est le rôle du Compliance Officer ?
Quelles sont ses missions ?

 Il assure la bonne mise en œuvre des réglementations et procédures en vigueur au sein de l’entreprise, vérifie leur conformité dans le cadre des processus en place, notamment ceux impliquant les relations de l’entreprise avec ses clients (« Know Your Customer »), assure leur contrôle permanent et mise en application. Il vérifie aussi le respect des exigences liées à la déontologie, qui regroupe les codes et pratiques propres au métier de l’entreprise.  

Les missions dépendent de sa structure, de son activité et secteur (par exemple pour les Banques, vérification de l’origine des fonds) et nécessitent des vérifications régulières pour s’assurer de la mise en œuvre adaptée des normes et des règles, fonction de leur évolution dans le temps.

  • Veille et analyse réglementaire :
    • Identifier et analyser les évolutions législatives et réglementaires impactant l’entreprise
    • Traduire les exigences légales en procédures internes adaptées
    • Mettre à jour la documentation et assurer une veille active sur les réglementations sectorielles
  • Mise en conformité et audit :
    • Élaborer et mettre en place des politiques de conformité (lutte contre la fraude, blanchiment, corruption, RGPD…)
    • Réaliser des audits internes pour vérifier le respect des normes et proposer des actions correctives
    • Superviser la mise en place des dispositifs de contrôle interne
  • Gestion des risques et prévention des fraudes :
    • Identifier les risques de non-conformité et proposer des mesures préventives
    • Définir des mécanismes de surveillance et d’alerte (whistleblowing, contrôle des transactions suspectes…)
    • Assurer la conformité des activités aux réglementations financières, bancaires, environnementales ou encore fiscales
  • Formation et sensibilisation :
    • Être l’interlocuteur privilégié des autorités de régulation (AMF, ACPR, CNIL…)
    • Préparer les rapports de conformité et garantir la transparence des informations transmises aux régulateurs
    • Répondre aux audits et inspections des organismes de contrôle

Quelles sont les compétences à acquérir pour devenir responsable conformité / Compliance Officer ?

  • Solides connaissances en droit, contrôle interne, réglementations bancaires internationales et réglementations européennes 
  • Solides compétences en finance, comptabilité et analyse des risques 
  • Maîtrise de l’anglais 
  • Maîtrise des outils de gestion de données 
  • Techniques :
    • Bonne connaissance du droit des affaires, du droit bancaire, financier et des normes de conformité
    • Maîtrise des réglementations sectorielles (AML/CFT, RGPD, Sapin II, SOX, IFRS…)
    • Capacité à mettre en place des dispositifs de contrôle et de prévention des risques
  • Organisationnelles et analytiques :
    • Rigueur et précision dans l’interprétation des textes législatifs
    • Esprit d’analyse et capacité à anticiper les risques
    • Excellente gestion des priorités et des situations complexes
  • Relationnelles et pédagogiques :
    • Diplomatie et capacité à sensibiliser les équipes aux enjeux de conformité
    • Aptitude à travailler avec différents services (juridique, audit, finance, RH…)
    • Aisance dans la communication avec les autorités de régulation et les partenaires externes

Comment devenir Compliance Officer ? 

Le métier de Compliance Officer peut s’exercer au niveau Bac +5 après le Bachelor Business & Finance suivi du MBA Risk & Compliance de l’ICS Bégué. 

  • Bac +5 en MBA Finance ou MBA Audit et Contrôle de gestion + expertise  Gestion des Risques ou Compliance
  • Expérience :

    • 3 à 5 ans d’expérience en cabinet d’audit, en service juridique ou conformité
    • Une première expérience en contrôle interne ou gestion des risques est un atout

Quel salaire, quelle évolution pour un Responsable Conformité ?

  • Salaire moyen :

    • Débutant : 40 000 – 50 000 € brut/an
    • Expérimenté : 50 000 – 80 000 € brut/an
    • Senior / Directeur Conformité : 80 000 – 150 000 € brut/an (en fonction de la taille de l’entreprise et du secteur)
  • Évolutions possibles :

    • Directeur Conformité (Chief Compliance Officer – CCO)
    • Responsable Contrôle Interne
    • Directeur des Risques
    • Consultant en conformité

Dans quels secteurs travaille un responsable Conformité ?

  • Types d’entreprises  :

    • Banques, assurances et établissements financiers
    • Grandes entreprises industrielles et commerciales
    • Cabinets de conseil en audit et conformité
    • Organismes publics et régulateurs

Quelles opportunités, quelles tendances ?

  • Tendances du métier :

    • Renforcement des réglementations en matière de protection des données et lutte contre le blanchiment d’argent
    • Développement des technologies RegTech pour automatiser la conformité
    • Croissance de la compliance dans le secteur des cryptomonnaies et fintech
  •  Compétences recherchées :

    • Connaissance approfondie des réglementations et normes internationales
    • Maîtrise des outils de reporting et des solutions de surveillance automatisée
    • Capacité à accompagner la transformation digitale des dispositifs de conformité

Le Responsable Conformité est un acteur clé pour garantir la sécurité juridique et financière de l’entreprise. Son expertise en réglementation et en gestion des risques lui permet d’anticiper et de prévenir d’éventuelles sanctions ou pertes financières. Métier en forte croissance, il nécessite à la fois des compétences techniques, analytiques et relationnelles.
Profil idéal : Expert en réglementation, rigoureux et stratège, avec une vision globale des risques et une capacité à sensibiliser l’ensemble des acteurs de l’entreprise !

Code RNCP : RNCP35963

Credit Risk Manager

Le Credit Risk Manager (ou Responsable des Risques de Crédit) joue un rôle clé dans l’évaluation et la gestion des risques liés aux crédits accordés par une banque, une institution financière ou une entreprise. Il analyse la solvabilité des emprunteurs, définit des politiques de gestion du risque et met en place des stratégies pour limiter les pertes potentielles.

Il travaille en banque, assurance, société de financement ou grande entreprise et collabore avec les équipes de finance, d’analyse des risques et de conformité.

Quel est le rôle du Credit Risk Manager ? Quelles sont ses missions ? 


Le Credit Risk Manager exerce un rôle essentiel dans la banque commerciale et d’entreprise. Il identifie, qualifie et quantifie les risques encourus par cette dernière dans le cadre d’octroi de crédits aux entreprises, TPE, PME et grands groupes, en évaluant plus particulièrement les risques de contrepartie et de marché.

À cet effet, il estime leur capacité à générer des flux suffisants et réguliers de liquidité dans l’avenir, fonction d’hypothèses s’appuyant sur leur modèle économique, stratégie et environnement concurrentiel.  

Il peut aussi être amené à exercer sa mission au sein d’entreprises en tant que chargé du « poste clients », et de la surveillance et mesure de la capacité de ces derniers à régler les montants facturés en respectant les délais. 

  • Évaluation du risque de crédit
    • Analyser la solvabilité des clients (entreprises et particuliers) à travers des bilans financiers, comptes de résultat et ratios financiers
    • Calculer des scorings de risque et attribuer des notes de crédit
    • Vérifier le respect des normes prudentielles (Bâle III, IFRS 9, Solvabilité II)
  • Mise en place de stratégies de gestion du risque
    • Définir des politiques de crédit et de recouvrement
    • Optimiser les conditions d’octroi de crédits (taux d’intérêt, garanties, maturité des prêts)
    • Élaborer des modèles de prévision des défauts et des stress tests
  • Surveillance et reporting des risques
    • Suivre l’évolution du portefeuille de crédit et identifier les expositions à risque
    • Rédiger des rapports de suivi pour la direction financière et les régulateurs
    • Mettre en place des indicateurs clés de performance (KPI) pour anticiper les pertes
  • Veille réglementaire et conformité
    • Appliquer les réglementations financières en vigueur (Bâle III, MIFID II, IFRS 9, RGPD)
    • Assurer le respect des exigences des régulateurs (Banque Centrale Européenne, ACPR, SEC, FCA)
    • Travailler en collaboration avec les équipes juridiques et conformité pour gérer les risques opérationnels et légaux

Quelles sont les compétences à acquérir pour devenir Credit Risk Manager ? 


  • Techniques et analytiques
    • Excellente maîtrise des méthodes d’analyse du risque de crédit
    • Solides compétences en modélisation financière et mathématiques appliquées
    • Connaissance des réglementations bancaires et financières (Bâle III, IFRS 9, Solvabilité II)
  • Outils et logiciels
    • Logiciels de gestion du risque : Moody’s Analytics, Bloomberg, RiskMetrics, SAS, MATLAB
    • Outils de data science et programmation : Python, R, SQL, VBA, Excel avancé
    • ERP et CRM financiers : SAP, Oracle, Salesforce
  • Stratégiques et économiques
    • Capacité à anticiper les fluctuations économiques et leur impact sur le risque de crédit
    • Analyse approfondie des tendances des marchés financiers et des taux d’intérêt
  • Relationnelles et décisionnelles
    • Capacité à communiquer des analyses complexes de manière claire et concise
    • Aisance à travailler avec des équipes pluridisciplinaires (finance, conformité, audit, IT)
    • Excellentes compétences en négociation avec les contreparties et les investisseurs

Comment devenir Credit Risk Manager ? 


Le métier de Credit Risk Manager peut s’exercer au niveau Bac +5 après le Bachelor Business & Finance suivi du MBA Risk & Compliance de l’ICS Bégué ou après le DSCG.

  • Bac +5 en MBA Finance + Expertise Gestion des risques à l’ICS BÉGUÉ
  • Expérience
    • Début possible comme Analyste Risque de Crédit, Analyste Financier, Actuaire ou Data Scientist en Finance
    • Expérience en banque, assurance, société de gestion d’actifs ou audit financier appréciée

Quels sont le salaire et les évolutions possibles ?


  • Salaire moyen
    • Débutant (Analyste Risque de Crédit / Risk Analyst) : 40 000 – 55 000 € brut/an
    • Confirmé (Credit Risk Manager) : 60 000 – 100 000 € brut/an
    • Expert (Directeur des Risques de Crédit / Chief Risk Officer – CRO) : 120 000 € + brut/an
  • Évolutions possibles
    • Head of Credit Risk / Responsable Risque de Crédit
    • Chief Risk Officer (CRO) / Directeur des Risques
    • Directeur Financier (CFO) dans une grande entreprise
    • Consultant en Risk Management pour des cabinets de conseil (Deloitte, EY, PwC, KPMG)

Quels sont les secteurs et les employeurs ?


  • Banques commerciales et d’investissement (BNP Paribas, Société Générale, JPMorgan, Goldman Sachs)
  • Compagnies d’assurance et réassurance (AXA, Allianz, Swiss Re, SCOR)
  • Sociétés de gestion d’actifs et fonds d’investissement (Amundi, BlackRock, PIMCO)
  • Cabinets d’audit et de conseil (Deloitte, EY, PwC, KPMG, Mazars)
  • Grandes entreprises industrielles et commerciales (TotalEnergies, L’Oréal, Airbus)

Quelles sont les opportunités et les tendances ?


  • Tendances du métier
    • Montée en puissance de l’intelligence artificielle et du machine learning dans l’analyse des risques
    • Durcissement des réglementations bancaires et financières (Bâle III, IFRS 9)
    • Croissance des risques liés aux nouvelles technologies (cybersécurité, cryptomonnaies, fintechs)
    • Développement de la finance durable et impact des critères ESG sur l’évaluation du risque de crédit
  •  Compétences recherchées
    • Expertise en modélisation des risques et intelligence artificielle appliquée à la finance
    • Capacité à anticiper les crises économiques et leurs impacts sur le crédit
    • Connaissance approfondie des réglementations financières et des nouvelles tendances en finance quantitative

Le Credit Risk Manager est un acteur stratégique qui analyse et gère les risques liés à l’octroi de crédits. Il doit allier compétences analytiques, expertise réglementaire et capacité de prise de décision pour sécuriser les investissements et protéger les institutions financières contre les défauts de paiement.

Profil idéal : Un expert en finance quantitative, à l’aise avec les chiffres, les modèles de risque et les réglementations financières !